Merlin vient d’avoir 17 ans. Un soir, il décide de se donner la mort, brutalement, sans se donner la moindre chance de survie. Transporté à l’hôpital dans un état critique, Nadège, sa mère et auteure de ce récit, décide d’être « totalement présente à ce qui est » et de se relier à plus grand qu’elle. Elle entame alors le plus long et lumineux des chemins, celui de ramener son fils à la vie. Guidées par l’amour et le lien qui les unissent, leurs âmes resteront connectées entre deux mondes, envers et contre tout.  Cet ouvrage transmet avec force et émotion la puissance de l’amour d’une mère et le pouvoir extraordinaire de l’invisible et de l’intangible. La vie est un miracle, quand l’Âmagi. 

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De notre Collection Reliure Singulière, est née l’envie de proposer à des personnalités dont nous aimons les rêves, les talents ou la générosité de s'associer au projet en créant leurs propres coffrets. Un instant éphémère, un coffret unique, pensé et réalisé avec soin par ces artistes pour vous transmettre et partager leurs univers. Ce premier coffret décliné en deux coloris est signé par Poesy by Sophie, qui vous propose tout en douceur une bulle d’évasion, de voyage et de lumière à partager avec ceux que vous aimez.

De notre collection Reliure Singulière, est née l’envie de proposer à des personnalités dont nous aimons les rêves, les talents ou la générosité de s'associer au projet en créant leurs propres coffrets. Un instant éphémère, un coffret unique, pensé et réalisé avec soin par ces artistes pour vous transmettre et partager leurs univers. Ce premier coffret décliné en deux coloris est signé par Poesy by Sophie, qui vous propose tout en douceur une bulle d’évasion, de voyage et de lumière à partager avec ceux que vous aimez. 

Le livre que vous tenez entre les mains n’est pas un simple livre de cuisine. 

Greatful Kitchen, c’est un art de vivre au quotidien, le bonheur de nourrir son corps, son énergie et son âme pour mieux vibrer, s’aimer et rayonner !  

Page après page, découvrez plus d’une centaine de recettes sucrées et salées, toutes plus vibrantes que gourmandes. Du petit-déjeuner au dîner, je vous partage tout mon amour pour la Terre et ses produits de haute qualité. Recettes classiques ou revisitées, végétariennes ou non, c’est un arc-en-ciel de couleurs et de saveurs qui guideront vos envies et vos papilles!  

Et s’il est capital de soigner et colorer nos assiettes au quotidien, il n’est pas moins urgent de nourrir et prendre soin de notre mental, de nos émotions et de notre mieux-être. Tout vibre en nous et autour de nous, à chaque instant. C’est donc tout en douceur que vous découvrirez des rituels de beauté et de bien-être ainsi que de nombreuses clés d’un mode de vie aligné, ancré et surtout très JOYEUX.  

Que vous soyez gourmand, fine bouche, perché, mal luné, amoureux ou fatigué, chaque jour est un cadeau, une opportunité de recommencer et de faire de son mieux. Partez à la rencontre et à la découverte de vous-même, soyez curieux, vibrez jusqu’au bout des doigts et n’oubliez jamais que la personne la plus importante au monde, c’est vous. Il est grand temps de vous accorder du temps, de vous faire du bien et de manifester votre vie rêvée !

Je me souviens encore de mes sempiternelles tartines au pâté crème à la cantine et mes biscuits un peu fanés en guise de goûter. Je jalousais mon amie Natacha, dont la boîte à tartines regorgeait en permanence de préparations maison jusqu’au jour où, alléluia, elle me « prêta » une barre aux céréales dont jamais je ne me remettrai ! C’est le souvenir de ce jour qui m’a inspirée cette recette et même si mes enfants rêvent parfois de biscuits industriels même fanés, ils savent la chance qu’ils ont de les dévorer.

Virginie 

Tous les mercredis après-midi, je tirais sur la manche de ma gardienne pour cuisiner des pâtisseries. Si j’adorais ça, ce n’était pas son cas ! Elle m’inventait alors des tas d’excuses chaque semaine pour éviter que la cuisine ne se transforme en scène de guerre. Elle finit par craquer devant mon air de chien battu et me proposa de faire des carrés confiture ! Voilà la recette qui nous réconcilia ! Moi, au somment du bonheur en étalant de la confiture sur une pâte feuilletée et elle, jubilant de ne rien avoir à nettoyer !

Lily

Lorsque nous avons commencé à travailler, mes copains et moi avions décidé de nous retrouver tous les jeudis soir chez l’un ou chez l’autre pour refaire le monde. Nous appelions ces soirées, les jeudis des p’tits potes ! Ce n’était jamais de la grande gastronomie mais cela n’avait aucune importance ! Chaque semaine, sans exception, j’apportais le dessert. De délicieux petits moelleux avec une pointe de chocolat auxquels je donnais des formes différentes en fonction des saisons : des bonshommes, des étoiles, des cœurs… Toujours la même recette mais jamais la même tête!

Anne-So

Ma mère me répétait sans jamais se lasser que manger des fruits de saison était une manière de remercier Dame Nature. Elle avait raison mais je dois bien avouer que les pommes et les poires finissaient par me sortir des trous de nez ! Jusqu’au jour où, de passage en Bretagne chez mon oncle Henry, un gâteau a changé définitivement mon aversion pour ces fruits. Je le dois à sa voisine Fanette, une pomme d’amour et de tendresse, qui depuis ce jour, me fait répéter à mes enfants que manger des fruits de saison est une manière…

Françoise

Un millier de kilomètres nous séparait chaque été de notre maison de vacances. Mon père conduisait, ma mère lui parlait et nous, nous comptions les voitures rouges et bleues en espérant que le temps passe plus vite. Mais ce que nous attendions surtout, c’était le moment où Maman se penchait pour attraper sa boîte en fer, bénie des dieux, débordant d’amandes craquantes ! Et je peux vous dire que si elle n’était pas là pour nous arrêter, nous aurions probablement fait de nos voyages, une succession de haltes impromptues et bien désagréables !

Anne-Catherine

Lorsque nous étions petits, nous avions une voisine très étrange, Colette, qui inspira, malgré elle, nombreux de nos jeux rocambolesques. Un dimanche après-midi, sans jamais en parler à nos parents, nous nous sommes lancé un défi : Précieux Coco ! La règle était simple. Ma grande sœur Lola prépara des rochers à la noix de coco, les enferma encore tièdes dans un petit sac en jute et celui qui piocherait le dernier précieux, devrait l’offrir à Colette, en espérant ne pas être transformé en chat de gouttière. Nous étions tellement excités et gourmands qu’aucun de nous de s’est dit qu’il aurait suffi de compter les précieux pour échapper au mauvais sort !

Alice

Lorsque nous avons commencé à travailler, mes copains et moi avions décidé de nous retrouver tous les jeudis soir chez l’un ou chez l’autre pour refaire le monde. Nous appelions ces soirées, les jeudis des p’tits potes ! Ce n’était jamais de la grande gastronomie mais cela n’avait aucune importance ! Chaque semaine, sans exception, j’apportais le dessert. De délicieux petits moelleux avec une pointe de chocolat auxquels je donnais des formes différentes en fonction des saisons : des bonshommes, des étoiles, des cœurs… Toujours la même recette mais jamais la même tête !

Anne-So